• Philip, une vie

    1954

    Philip, une vie

    1955

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    1986

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    1992

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    1995

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    1996

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    1997

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    1997

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    1998

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    2000

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    2005

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    2011

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    2017

    Philip, une vie

    2018


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    La vie de Philippe en images!

    Le prince Philip de Grèce en juillet 1922, à l'âge de 13 mois.

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    1929, à l'école Mac jeannet American School, à Saint Cloud, 2ième depuis la gauche

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    1935, en Macbeth, en Ecosse

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    La veille de son mariage, le roi George VI lui donne le prédicat d'altesse royale et le matin du mariage, le 20 novembre 1947, il est fait duc d'Edimbourg, comte de Marioneth, et baron de Greenwich.

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    20 novembre 1947, mariage avec Elizabeth

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    Première photo après son mariage

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    14 novembre 1948, après la naissance de Charles

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    Anne naît le 15 août 1950

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    1952

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    6 février 1952, Elizabeth devient reine et Philippe prince d'Angleterre

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  • Le prince Philip à Londres en juin 2012.

    Le prince Philip, époux de la reine Elizabeth II, est mort vendredi matin à l’âge de 99 ans, a annoncé le palais de Buckingham.

    «C’est avec un profond chagrin que Sa Majesté la reine annonce la mort de son époux bien aimé le prince Philip, duc d’Edimbourg», selon un communiqué du Buckingham, précisant que le prince Philip, qui avait été hospitalisé récemment, est mort «paisiblement ce (vendredi) matin au château de Windsor».

    De retour à Windsor

    Le duc d’Edimbourg, qui aurait eu cent ans en juin, avait été admis le 16 février dans un hôpital privé de la capitale britannique, le King Edward VII. Après son hospitalisation, il était retourné à Windsor, à l’ouest de Londres, où il avait passé le confinement avec son épouse de 94 ans.

    Il y était retourné pour poursuivre sa convalescence après avoir subi «avec succès», début mars, une intervention pour un problème cardiaque préexistant dans un autre établissement londonien, l’hôpital St Bartholomew’s, doté du plus grand service cardiovasculaire spécialisé en Europe.

    Réputé pour son fort caractère mais aussi pour ses gaffes, le duc d’Edimbourg avait été hospitalisé en février par mesure de «précaution» après s’être senti mal. Le palais de Buckingham avait précisé quelques jours plus tard que cette hospitalisation était due à une infection.

    Si son transfert pour ses problèmes cardiaques avait fait craindre une détérioration de son état de santé, ses proches s’étaient voulus rassurants. Le prince Charles lui avait rendu visite à l’hôpital.

    Grand amour de la souveraine

    Le prince Philip, grand amour de la souveraine, a fidèlement accompagné la reine Elizabeth pendant plus de 73 ans. Deux pas en retrait mais loin de s’effacer, il était resté impétueux, malgré le sacrifice de sa carrière et les lourdeurs du protocole.

    «Mon premier, second et ultime emploi est de ne jamais laisser tomber la reine», avait-il expliqué à son secrétaire particulier, Michael Parker, juste après son mariage, en 1947. Un dévouement auquel Elizabeth II avait rendu hommage, confiant publiquement qu’il avait été sa «force» et son «soutien».

    Et pourtant, le prince Philip s’est longtemps heurté aux arcanes policés de la famille royale britannique avec son tempérament autoritaire, mais aussi ses plaisanteries douteuses voire des dérapages racistes.

    Carrière militaire avortée

    Philip est né à Corfou le 10 juin 1921, avec les titres de Prince de Grèce et du Danemark. À 18 mois, son oncle, roi de Grèce, est contraint d’abdiquer, et son père est banni du pays après la guerre gréco-turque. Avec ses parents et ses quatre soeurs, Philip fuit à bord d’un navire de l’armée britannique.

    C’est le début d’une enfance solitaire et agitée, entre la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni. Sa mère, dépressive, est hospitalisée puis entre dans les ordres, tandis que son père part s’installer à Monaco.

    Philip, lui, est finalement envoyé en Écosse pour suivre sa scolarité dans un austère pensionnat. Il ne reverra sa famille qu’à de rares occasions.

    À partir de 1939, il fait ses classes dans l’armée britannique, au Royal Naval College de Dartmouth (sud de l’Angleterre). Il y découvre sa vocation et y rencontre pour la première fois la princesse Elizabeth. Il a 18 ans, elle en a 13 et tombe sous le charme du beau militaire.

    Il sert dans la marine pendant la Seconde Guerre mondiale. Il se distingue rapidement et devient l’un des plus jeunes lieutenants de la Royal Navy, promis à une brillante carrière.

    «Sans éducation»

    Il se fiance après la guerre à Elizabeth. Philip est d’abord vu d’un mauvais oeil par les membres de sa belle-famille. «Ils le considéraient comme brutal, sans éducation, et estimaient qu’il serait probablement infidèle», a révélé Alan Lascelles, secrétaire personnel du roi Georges VI.

    Mais «Lilibet» l’adore et leur union est célébrée le 20 novembre 1947. Philip doit renoncer aux titres qu’il avait reçus à la naissance mais devient duc d’Édimbourg. Il obtient la nationalité britannique et adopte le nom – anglicisé – de sa mère, Mountbatten.

    En 1952, la mort du roi George VI propulse Elizabeth sur le trône. Au cours de la cérémonie de couronnement, il fait le serment d’être «l’homme lige» de la reine, et devient à jamais le second de son épouse.

    Il est contraint de mettre un terme à sa carrière militaire, un déchirement. «C’était frustrant, je venais d’être promu commandant», reconnaîtra-t-il plus tard. «La partie la plus intéressante de ma carrière navale venait seulement de commencer».

    Pragmatique

    «Je ne sais pas combien de temps il va tenir, il est comme refoulé», dira l’ex-roi de Yougoslavie. Mais animé par un grand sens du devoir, le prince Philip s’investit dans son nouveau rôle, jusqu’à devenir parrain de plus de 780 organisations, assumant notamment la présidence du WWF pendant quinze ans.

    Volontiers ironique, il se construit une réputation de gaffeur, à coups de dérapages racistes et de blagues douteuses.

    Chef de famille quand son épouse est cheffe d’État, il entretient une relation notoirement compliquée avec l’aîné de ses quatre enfants, le prince Charles, souvent interprétée comme une répercussion de sa propre enfance, dénuée d’affection parentale.

    «Charles est un romantique, je suis un pragmatique», concède-t-il à son biographe Gyles Brandreth. «Cela signifie que nous voyons les choses différemment».

    Mais la famille royale lui sait gré de son infatigable engagement en faveur de la monarchie. «Il est incroyable. Il a été présent toutes ces années, c’est notre roc», avait salué sa petite-fille, la princesse Eugénie.

    Record de longévité

    Détenteur du record de longévité des conjoints des souverains au Royaume-Uni, le prince Philip avait pris sa retraite publique en 2017, à l’âge de 96 ans, après avoir honoré son 22.219e et dernier engagement solo: passer en revue une parade des Royal Marines, dont il était le général en chef.

    En janvier 2019, la Land Rover qu’il conduisait avait percuté un autre véhicule en sortant d’une allée du domaine de Sandringham et s’était renversée. Sorti indemne de l’accident, il avait renoncé à conduire.


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  • It is with deep sorrow that Her Majesty The Queen has announced the death of her beloved husband, His Royal Highness The Prince Philip, Duke of Edinburgh. His Royal Highness passed away peacefully this morning at Windsor Castle.
    C'est avec une profonde tristesse que Sa Majesté la Reine a annoncé le décès de son époux bien-aimé, Son Altesse Royale le Prince Philip, duc d'Édimbourg. Son Altesse Royale est décédée paisiblement ce matin au château de Windsor.


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  • ALERTE!!!

     

    Le duc d'Edimbourg est mort!!!!

    ALERTE!!!


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  • Jordanie: un demi-frère du roi accusé d'avoir comploté contre le royaume

    Le prince Hamza, demi-frère du roi Abdallah II de Jordanie, a tenté de déstabiliser le royaume et de porter atteinte à la sécurité du pays, a affirmé dimanche le vice-Premier ministre, tout en annonçant une quinzaine d'arrestations, dont des personnes ayant occupé des postes à responsabilité.

    Hamza, qui s'est vu retirer le titre de prince héritier en 2004, et les autres suspects ont collaboré avec une puissance étrangère pour "porter atteinte à la sécurité" de la Jordanie, a indiqué le vice-premier ministre, Aymane Safadi, lors d'une conférence de presse, sans préciser de quelle puissance étrangère il s'agissait.

    Avant d'en arriver à ce constat, "les services de sécurité ont suivi durant une longue période les activités et les mouvements du prince Hamza ben Hussein, de Cherif Hassan ben Zaid et de Bassem Awadallah et d'autres personnes visant la sécurité et la stabilité de la patrie", a-t-il argué.

    Le prince Hamza avait annoncé samedi soir avoir été "assigné à résidence" dans son palais à Amman.

    Dans une vidéo transmise à la BBC par son avocat, Hamza a affirmé que le chef d'état-major de l'armée s'était rendu à son domicile et lui avait signifié qu'il n'était "pas autorisé à sortir". Il a nié avoir pris part à un complot, et a accusé les autorités de son pays de "corruption" et d'"incompétence".

    - "Sécurité et stabilité" -

    La "sécurité" et la "stabilité" de la Jordanie représentent une "ligne rouge" qui ne doit pas être franchie, a mis en garde dimanche matin le journal d'Etat Al Rai.

    Agé de 41 ans, Hamza est le dernier fils du roi Hussein, né d'un quatrième et ultime mariage avec la reine Noor, d'origine américaine.

    Conformément au souhait de son père, décédé en 1999, il avait été nommé prince héritier lorsque Abdallah II était devenu roi. Mais, en 2004, le souverain lui a retiré ce titre pour le donner à son propre fils aîné, Hussein.

    La reine Noor a pris la défense de son fils, dénonçant sur Twitter des "calomnies": "Je prie pour que la vérité et la justice l'emportent pour toutes les victimes innocentes", a ajouté celle qui avait déjà critiqué ces derniers mois les autorités du royaume.

    Le général Youssef Huneiti, chef d'état-major, avait précisé samedi dans un communiqué que le prince Hamza avait été "appelé à arrêter les activités qui pourraient être utilisées pour porter atteinte à la stabilité et à la sécurité du royaume". Il avait démenti son arrestation.

     

    "Personne n'est au-dessus de la loi. La sécurité et la stabilité de la Jordanie passent avant tout. Toutes les mesures qui ont été prises l'ont été dans le cadre de la loi et après une enquête approfondie", avait-il relevé.

    Pour Barah Mikaïl, professeur à l'université Saint Louis à Madrid et directeur de la société de conseils Stractegia, "il n'y a pas beaucoup de raisons de douter de la version du pouvoir jordanien".

    "Celui-ci est très bien structuré côté renseignements et maillage national, et le contrôle étroit en particulier des personnes soupçonnées de pouvoir atteindre à la monarchie est un fait", a-t-il expliqué à l'AFP. "Le pouvoir jordanien a besoin de rassurer autour de lui et il se passerait bien de la présence d'un complot ourdi à son encontre, surtout à l'approche de l'anniversaire du royaume".

    Faut-il craindre pour le pouvoir jordanien à brève échéance? "Je ne le crois pas. Les choses semblent contenues", a-t-il ajouté.

    Au total, au moins 16 personnes ont été interpellées, parmi lesquelles deux personnalités, Bassem Awadallah (un ancien conseiller du roi) et Cherif Hassan ben Zaid, selon M. Safadi, qui a précisé que les services de sécurité avaient recommandé au roi de les renvoyer devant la cour de sûreté de l'Etat.

    - "Rancoeur" -

    D'après un analyste jordanien ne souhaitant pas être identifié pour des raisons de sécurité, le prince Hamza avait ces derniers temps "multiplié devant son cercle d'amis les critiques contre ce qu'il qualifiait de corruption au sein du pouvoir".

    Toujours selon cette source, "il y a certainement de la rancoeur de sa part car il n'a jamais digéré d'avoir perdu son titre de prince héritier".

    Le royaume de Jordanie doit célébrer le 11 avril son 100e anniversaire.

    Dimanche, premier jour de la semaine en Jordanie, une apparence de normalité a régné dans les rues d'Amman, même si les développements de samedi soir étaient sur toutes les lèvres.

    Petit pays dépourvu de ressources naturelles et largement dépendant des aides étrangères, la Jordanie est toutefois perçue comme stratégique au regard des tensions régionales.

    Depuis samedi soir, l'ensemble des monarchies du Golfe ont unanimement fait bloc derrière le souverain jordanien en lui exprimant leur plein soutien, dans des déclarations distinctes.


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  • Les autorités jordaniennes ont promis de fournir davantage d'explications, au lendemain d'une vague d'arrestations pour "raisons de sécurité", notamment de proches de la famille royale, un journal d'Etat avertissant que la "stabilité" du royaume constituait une "ligne rouge" à ne pas franchir.

    Le demi-frère du roi Abdallah II de Jordanie, le prince Hamza, a lui annoncé samedi avoir été "assigné à résidence" dans son palais à Amman, après avoir été accusé par l'armée d'activités contre "la sécurité du royaume".

    Dans une vidéo transmise à la BBC par son avocat, le prince jordanien a affirmé que le chef d'état-major de l'armée s'était rendu à son domicile et lui avait signifié qu'il n'était "pas autorisé à sortir". Il a nié avoir pris part à un complot et accusé les autorités de son pays de "corruption" et d'"incompétence".

    Hamza est le fils aîné du roi Hussein et de son épouse américaine, la reine Noor, née Lisa Halaby. Conformément au souhait de son père, décédé en 1999, il avait été nommé prince héritier lorsque Abdallah était devenu roi. Mais en 2004, Abdallah II lui avait retiré son titre pour le donner à son fils aîné Hussein.

    Dans un communiqué, le chef d'état-major jordanien, le général Youssef Huneiti, avait précisé que le prince Hamza avait été "appelé à arrêter les activités qui pourraient être utilisées pour porter atteinte à la stabilité et la sécurité du royaume", mais avait démenti son arrestation.

    "Personne n'est au-dessus de la loi. La sécurité et la stabilité de la Jordanie passent avant tout. Toutes les mesures qui ont été prises l'ont été dans le cadre de la loi et après une enquête approfondie", avait-il ajouté.

    - Remue-ménage au palais -

    Selon l'agence de presse officielle Petra, les autorités ont arrêté un ancien conseiller du roi, Bassem Awadallah, et d'autres personnes, alors que le quotidien américain Washington Post a fait état pour sa part d'un complot visant à renverser le roi.

     

    Ce remue-ménage n'a pas encore été commenté par le palais royal jordanien, mais une source gouvernementale a déclaré dimanche à la chaîne de télévision officielle Al-Mamlaka qu'une déclaration clarifiant les faits serait publiée dans les heures qui viennent par les autorités concernées.

    Seul journal officiel à commenter cet événement, Al-Rai a affirmé dimanche que les intérêts supérieurs, la sécurité et la stabilité du royaume étaient "une ligne rouge" à ne pas franchir.

    "L'opération de sécurité hier (samedi) est l'expression d'une ligne rouge qui ne permet pas d'être franchie quand il s'agit des intérêts supérieurs du royaume, de sa sécurité et sa stabilité", écrit le journal en une.

    "Certains essaient d'imaginer une tentative de coup d'Etat en Jordanie, et ils tentent d'impliquer le prince Hamza", poursuit Al Rai.

    Pour le journal, "certains agissements du prince (Hamza) ont été sciemment utilisés pour nuire à la sécurité et à la stabilité de la Jordanie". 

    "Ceux qui connaissent l'histoire de Jordanie savent bien que ce genre de situation arrive de temps à autre. Ils savent aussi que toute tentative de déstabiliser ce pays centenaire ou de séparer le peuple de son leadership sont vouées à l'échec", conclut le journal.

    Les journaux semi-gouvernementaux al-Dostour et al-Ghad ont pour leur part reproduit sans commentaire les communiqués officiels à propos de ces arrestations.

    Le royaume de Jordanie, qui célèbrera le 11 avril son 100e anniversaire, est un petit pays dépourvu de ressources naturelles et largement dépendant des aides étrangères.


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  • Rififi en Jordanie!

    Plusieurs proches du roi arrêtés ou mis en résidence surveillée!

    dont l'ancien prince héritier qui a fait diffuser une vidéo dans laquelle il dénonce l'incompétence et la corruption en Jordanie; 


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  • Autisme

    En vue de la Journée Mondiale de Sensibilisation à l’Autisme qui se tient ce vendredi, le Palais grand-ducal se pare jusqu’au 4 avril d’une illumination bleue en soutien au mouvement de solidarité "Light it up blue".


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  • Livre

    Pendant la pandémie, Kate a lancé un concours de photos. Elle en a reçu des milliers. une centaine fera l'objet d'un livre qui sortira le 7 mai.

    Livre


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    Si vous voulez lire le nouvel article de notre amie Plume d'histoire sur 

    La Reine Tudor et le Prince Grenouille

     Cliquez ici. 

     

    Vous connaissez la célèbre reine Élisabeth Ière Tudor, fille du flamboyant Henri VIII et de sa seconde épouse Anne Boleyn ! 

    Son très long règne hisse définitivement au XVIe siècle l'Angleterre au rang des grandes puissances européennes. 
       

    La personnalité énigmatique d'Élisabeth fascine les historiens d'hier et d'aujourd'hui. Mystérieuse, caractérielle, grande politicienne capable de duplicité... Des ministres brillants, un patriotisme sincère et le goût du pouvoir remplacent au quotidien la présence d'un époux...

    Car la « reine vierge » est aussi connue pour son célibat ! Pourtant ce ne sont pas les prétendants qui manquent. Et Élisabeth s'accorde parfois le rêve délicieux d'une vie conjugale... avant de refuser toutes les demandes en mariage.

    Mais elle ne s’aventura jamais aussi loin sur la voie de l’engagement matrimonial qu’avec le duc d’Alençon, fils d’Henri II et Catherine de Médicis. Revenons sur cette amourette rocambolesque qui donna du fil à retordre aux ambassadeurs successifs. Révélatrice de l'indécision chronique et de la fourberie de cette reine Tudor, cette idylle méconnue méritait bien un article sur Plume d'histoire !    


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  • Ce soir à 17h00 sur Youtube, Sissi!

    Je vous invite à voir la vidéo sur les Habsbourg faite par des amis:

    Avec leur troupe des conférences-spectacles, ils ont concocté une série d’épisodes dédiés à de grands personnages Habsbourg. Les épisodes sont disponibles sur YouTube et vous pouvez les regarder ou les écouter quand vous le souhaitez !

    1er épisode déjà en ligne : François-Joseph

    2ème épisode diffusé depuis samedi 30 janvier 17h : Rodolphe

    3ème épisode depuis samedi 6 février 17h : Sissi


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